Exploration vocale et diphonie

L’Exploration vocale est une pratique vocale qui repose sur la production d’harmoniques de la voix grâce au son de la voix laryngée, en utilisant le son des voyelles. Cette pratique favorise un état de détente profonde et une écoute intérieure. Elle met l'accent sur la relation entre la voix et le corps, où les vibrations vocales agissent comme des vecteurs de transformation psychique et physique. Le terme d’Exploration vocale renvoie à l’idée d’un cheminement, des résonances de la voix tant dans en soi que dans son environnement.

L’Exploration vocale est un chant des voyelles qui créé de la diphonie, c’est-à-dire que la voix chantée produit deux sons. Le son fondamental, qu’on appelle le bourdon,  est émis par les cordes vocales, généralement sur une fréquence basse et avec un timbre de voix de gorge. Le son aigu est produit par les résonateurs et correspond a un renforcement de certains harmoniques grâce a des positions particulières des cavités de résonance. Cela créé un effet terrible ! Il est surprenant d’entendre (et s’entendre) et ressentir deux voix en une, voire plus quand le chanteur est habile. Nous pouvons citer de nombreuses pratiques qui emploient la diphonie. La plus connue d’entre elle, c'est le khöömi, assez répondu en Mongolie et en vogue dans les milieu néo-chamaniques occidentaux. Fait intéressant, des légendes attribuent la naissance de ce chant diphonique à l’imitation des sons de l’eau, du sifflement du vent et des chants d’oiseaux. L’histoire raconte qu’il existe une cascade sacrée, près d'une rivière appelée Buyan Gul, dans les montagnes à l'ouest du pays ou « la nature enseigne son chant aux hommes ». Ce lieu est d'ailleurs aujourd’hui toujours employé pour l'initiation des jeunes chanteurs. Ce chant est généralement exécuté dans un contexte pastoral, « pour imiter la nature »… Les chanteurs témoignent d’un effet associée à cette pratique  : plaisir de la voix et ses résonances, sentiment d’un lien à l’autre, à la nature, à son environnement. Relevons aussi que la diphonie est également employée pour communiquer avec les animaux. Cela rappelle d'autres modes de chants ancestraux qui s'appuient sur une activité pastorale a travers le monde comme le yodel alpin ou le kulning scandinave.

La diphonie s'appuie généralement sur un certain effort de modulation anatomique marqué par un certain temps d’apprentissage (pour ne pas dire initiation). Notre pratique d’Exploration vocale correspond plutôt à un grand état de détente voire une méditation par la voix, que nous a toutes les caractéristique d’une transe vocale : c’est à dire qu’elle entraîne un changement d’état de conscience qui va de la transe légère au flow jusqu’à des transes plus marquées, dans des contextes bien spécifiques. L’Exploration vocale est accessible à tous. Sa finalité n'est pas non plus de produire un beau chant avec une kyrielle d’harmoniques. Il s'agit plutôt d’une invitation à explorer la résonance des harmoniques naturels de sa voix dans son corps, favoriser l'écoute intérieure dans un état de présence a soi-même. Et la façon la plus évidente d’y parvenir, c’est de s’appuyer la voix laryngée et les production de voyelles. Et pourquoi ?

Les voyelles, une vibration riche en harmoniques

Les voyelles chantées portent en elles un riche éventail d’harmoniques. Un son vocal n’est pas une onde simple : il se compose d’une fréquence fondamentale et de multiples harmoniques qui en sont les multiples. Chaque voyelle agit comme un filtre naturel qui amplifie certaines de ces harmoniques et en atténue d’autres, lui donnant un timbre unique. Ainsi, chaque voyelle ne restitue pas tous les harmoniques, mais seulement une partie d’entre eux, en fonction de la forme de la bouche et de la position de la langue​. Ces caractéristiques acoustiques font des voyelles de véritables instruments intérieurs : en modulant la cavité buccale, le chanteur fait résonner différemment son corps-instrument, faisant tour à tour briller tel ou tel harmonique. Il en résulte une richesse sonore particulière, une vibration ample qui peut emplir l’espace et toucher l’oreille comme le corps de l’auditeur.

Voix et espace : la résonance sacrée des grottes

Depuis la nuit des temps, la voix humaine dialogue avec les espaces de résonance. Les recherches de Iégor Reznikoff et Michel Dauvois dans les grottes préhistoriques de Niaux ont révélé une connexion saisissante entre la voix et la pierre. En étudiant plusieurs grottes ornées, ils ont mis en évidence une corrélation étroite entre l’emplacement des peintures rupestres et les lieux à l’acoustique exceptionnelle : les œuvres se concentrent dans les zones à forte résonance sonore​ (Reznikoff et Dauvois, 1988). Autrement dit, les communautés paléolithiques semblent avoir choisi de peindre là où le chant, le son de la voix, faisait vibrer les parois avec le plus d’intensité. On peut imaginer ces anciens chanteurs, au fond de cavernes obscures, entonnant de longues voyelles qui se répercutaient en échos profonds, prolongeant le son bien après qu’il a été émis. La grotte devenait alors un amplificateur naturel, une cathédrale primitive où la voix humaine et l’espace ne faisaient plus qu’un, créant une expérience à la fois sensorielle et spirituelle. Le corps qui chante et la voûte de la caverne entraient en communion, et le son prolongé participait sans doute au rituel, reliant l’homme à son environnement de manière sacrée​. 

Le pouvoir sacré des voyelles dans les traditions anciennes

Bien des civilisations ont reconnu aux voyelles un rôle sacré, voyant en elles plus que de simples phonèmes. Dans l’Égypte antique, par exemple, certains témoignages laissent entendre que les prêtres utilisaient les voyelles comme des instruments de culte. En Égypte, les prêtres célèbrent les dieux au moyen des sept voyelles en les chantant de suite  : plutôt que d’employer flûtes ou lyres, ils faisaient résonner leurs voix pures, chaque voyelle étant émise successivement comme les notes d’un hymne mystérieux (Tadros, 2004). La voyelle chantée était considérée comme « l’instrument idéal […] pour la louange », un son jaillissant du cœur plutôt que d’un objet fabriqué. Cette préférence montre à quel point le souffle vocal était perçu comme porteur du divin — une offrande sonore vivante, directement issue de l’âme du célébrant.

Dans le monde gréco-romain tardif, les textes magico-religieux témoignent aussi de ce symbolisme vocalique. Les papyrus gréco-égyptiens de magie — Papyri Graecae Magicae (PGM) — utilisent de longues séries de voyelles chantées dans leurs rituels. Ces voyelles incarnent la puissance du pneuma (le souffle vital) et sa capacité à donner la voix aux choses​ (Audureau, 2021). On prêtait même aux voyelles le pouvoir d’animer la matière inerte : par exemple, tracer ou chanter des voyelles sur une pierre pouvait la doter d’une voix, la rendre «  vivante et parlante » aux oreilles des dieux ou des esprits​. Les sept voyelles grecques — alpha, épsilon, êta, iota, omicron, upsilon, ômega — furent associées, dans certaines interprétations ésotériques, aux sept planètes errantes, établissant un lien entre la voix humaine et l’harmonie des sphères célestes. Chanter ces voyelles, c’était en quelque sorte faire écho au chant cosmique des astres – une idée qui, bien qu’elle relève en partie d’une reconstruction moderne, illustre la fascination des anciens pour la correspondance entre le son vocal et l’ordre de l’univers.

En Inde également, la dimension sacrée du son vocal est centrale. Une antique conception nommée Nada Brahma affirme que «  le monde est son  » — autrement dit, l’univers tout entier serait vibration. Dans une culture de forte tradition orale, c’est l’oreille, plus que l’œil, qui mène à la vérité spirituelle. Les lettres et syllabes y sont vénérées non pour leur forme écrite, mais pour l’énergie sonore qui les habite​essentiels.bnf.fr. Les sages indiens ont longuement spéculé sur la signification mystique des phonèmes : chaque voyelle, chaque syllabe (bija ou graine sonore), est porteuse d’une force subtile. On retrouve dans les rites védiques et tantriques l’usage de mantras composés de voyelles prolongées, que l’on chante pour activer telle énergie, invoquer telle divinité ou ouvrir tel centre d’énergie intérieure. Les voyelles, par leur pureté vocale, sont ainsi les clés sonores d’une connaissance à la fois cosmique et intérieure.

AUM : la syllabe cosmique

Parmi tous les sons sacrés, le AUM (OM) indien s’impose comme le plus emblématique. Constitué de la triade vocalique A-U-M suivie d’un silence, ce mantra est décrit dans les Upanishads comme la vibration primordiale à l’origine de la création. Le mythologue Joseph Campbell y voit « la vibration fondamentale de l’univers, émergeant du silence et y retournant »​. Autrement dit, lorsque l’on chante AUM, on reproduit en miniature le cycle cosmique : le A initial naît au fond de la gorge, le U prolonge le son en le faisant résonner dans la bouche, puis le M vient fermer les lèvres dans une vibration labiale, et enfin le son se dissout dans le silence final. Cette séquence correspond symboliquement aux états de conscience (éveil, rêve, sommeil profond) et à l’ultime réalité silencieuse qui les sous-tend​..

Chanter AUM, c’est donc s’aligner sur le rythme du cosmos. Les traditions enseignent que ce chant relie celui qui le pratique à la création toute entière, comme si la voix individuelle se branchait sur le bourdonnement de fond de l’univers. Campbell compare cette vibration non frappée  (anahata nada) au bourdonnement d’un transformateur électrique ou au murmure inaudible des atomes — un son continu, omniprésent, qui n’est pas produit par un choc mais émane de la structure même de la réalité. Le AUM chanté à voix haute est ce qui se rapproche le plus de ce bourdonnement universel​. Sur le plan corporel et thérapeutique, la récitation prolongée de OM a un effet apaisant bien tangible : la vibration profonde qu’elle génère dans la cage vocale et la tête stimule notamment le nerf vague, ce qui induit un état de calme et de recentrage mesurable scientifiquement​ (Kalyani, 2011). Pas étonnant que ce son soit utilisé depuis des millénaires pour la méditation et la recherche d’une harmonie intérieure.

De la voix à la transe : le chant comme chemin thérapeutique

L’usage prolongé de la voix, en particulier sur des voyelles tenues, a le pouvoir de modifier notre état de conscience. Qui n’a pas ressenti, en chantant un mantra ou en écoutant un chant grégorien, cette impression de déconnexion du temps ordinaire, d’entrée dans un espace plus profond de soi ? La science contemporaine redécouvre ce que les traditions savent depuis longtemps : le son peut induire la transe. Selon Pr Antoine Bioy (2024), « la transe est un état de conscience modifié qui inclut un élément de brusquerie », c’est-à-dire la survenue d’un événement sensoriel qui bouleverse nos repères et nous plonge dans une expérience inhabituelle et transitoire. Or, un chant intense ou répétitif — que ce soit le martèlement d’une voyelle, la litanie d’un mantra ou la mélopée d’un chaman — peut jouer le rôle de cet élément déclencheur. La vibration sonore vient bousculer nos sens, occuper notre esprit de façon monocorde, jusqu’à ce que peu à peu nos pensées quotidiennes lâchent prise.

Dans de nombreuses cultures, la voix chantée est la porte d’entrée vers des états extatiques ou thérapeutiques. Les shamans sibériens, les soufis chantant le dhikr, les mystiques chrétiens en prière vocale — tous utilisent la vibration vocale prolongée pour atteindre un niveau de conscience altéré, favorable à la guérison ou à la communion avec le sacré. La transe vocale peut s’accompagner de sensations de flottement, de dissolution de l’ego, ou d’union avec ce qui nous dépasse. Sur le plan thérapeutique, ces états de conscience modifiés par le son permettent souvent une reprogrammation intérieure : libération émotionnelle, insight, apaisement durable du mental. Le musicothérapeute le constate, par exemple, lorsque certains patients laissent aller leur voix sur une voyelle et entrent dans une sorte de rêverie profonde, proche de l’hypnose, où un travail intérieur peut se faire. Le son vocal agit alors comme un véhicule – il nous emmène hors des sentiers battus de la perception, ouvrant la porte à un mieux-être et à une transformation de soi.

Le silence, seuil de la transformation intérieure

Au bout du voyage sonore, après l’extériorisation intense de la voix, survient le silence. Ce silence n’est pas une simple absence de bruit : il est le berceau de toutes les vibrations, le socle sur lequel repose la musique intérieure. Dans la pratique vocale sacrée, le silence qui suit le chant est un moment tout aussi précieux que le chant lui-même. C’est un seuil, un espace de transition où l’énergie du son continue d’agir subtilement. Après avoir chanté des voyelles pleines et résonnantes, on peut ressentir dans le silence qui s’installe une sorte de résonance interne – le corps et l’esprit vibrent encore de l’écho du chant, mais cette vibration se tourne vers l’intérieur.

Le silence permet d’intégrer l’expérience. Comme la poussière qui retombe après qu’on a ébranlé l’air, les vibrations vocales laissent place à une clarté nouvelle. L’attention, d’abord focalisée sur le son, se retourne vers l’âme. C’est souvent dans ces moments de calme profond que s’opèrent les plus grandes transformations intérieures. Le pratiquant, assis dans le silence après le chant, peut sentir s’ouvrir en lui un espace infini, propice à la méditation et à la compréhension de soi. Le corps apaisé par les harmoniques chantées trouve un nouvel équilibre, tandis que l’esprit, enveloppé de silence, peut entrevoir de nouvelles perspectives, des intuitions, voire un sentiment d’unité avec le tout. Le maître soufi Hazrat Inayat Khan écrivait que « le silence est la fleur de la musique » – en effet, il en est l’aboutissement naturel et le parfum subtil. Sur le chemin de la voix thérapeutique, le silence final est ce seuil sacré où l’on quitte le monde des sons pour entrer dans celui de la transformation intérieure. C’est là, dans cette quiétude vibrante, que le chanteur intègre son voyage et que le soi profond peut éclore, nourri par la puissance du son et la paix du silence.

Chaque voyelle chantée, chaque résonance partagée, chaque silence habité sont autant d’étapes d’un même voyage holistique. De la vibration corporelle la plus brute à la communion spirituelle la plus élevée, la voix navigue entre le physique et le métaphysique. Dans cette danse des voyelles et du silence, le thérapeute trouve un allié puissant pour aider autrui à se recentrer, à s’ouvrir et à se transformer en profondeur — en un mot, à harmoniser le corps et l’âme au diapason du cosmos.

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